Tautogrammes avec Sof (1)
Petit exercice plutôt amusant ! Seul c'est un véritable casse-tête, à deux c'est un jeu de rebondissements de plus en plus tordants ! Merci encore à Sof d'avoir accepté de mêler sa plume à la mienne malgré les explications tordues et incompréhensibles...
Prix Senghor 2016, les finalistes
Samedi 2 Juillet, avec la participation de la librairie Mic-Mac de Verneuil sur Seine, Eugène Fresnel, président du jury pour le prix Senghor du premier roman francophone et francophile présentait les douze finalistes en lice pour le prix. Sous les premiers...
Ils déambulent dans mes rêves...
Merci encore à Sophie Garrec pour ce poème à deux plumes ! Il n'a pas toujours été facile de trouver les mots justes, mais nous espérons que ce petit poème vous plaira ! Sophie a eu le courage d'ouvrir le poème. A chaque vers la plume a changé de main,...
Trois haïkus (1)
Illustration de Gautier Dupont Le vent s'est levé Dans la courbure de l'arbre Il faut résister - - - - - Au fond du vieux puits Quelques gouttes de l'orage La fleur a germé - - - - - La nuit opaline Porte sur l'éternité Des étoiles mortes
HARMONIE DU SOIR
Le titre et le premier quatrain de ce pantoum sont tirés des Fleurs du Mal de Charles Baudelaire et ne sont ainsi pas ma propriété. Je tiens à remercier très chaleureusement mon amie Sof qui m'a proposé ce petit atelier entre poètes alors que mon moral...
LA MUSE ENVOLÉE
LA MUSE ENVOLÉE Muse vespérale ! Sylphide à l'encre d'or La saison nivéale Aurait-elle soufflé ton puissant athanor ? Ton élytre réale aurait-elle brûlé, Ô ma muse vénale, Dans l'impassible orgueil de notre chrysopée ? Peut-être éclaires-tu quelque abysse...
Souffre de cataglottisme...
Souffre de cataglottisme...
LE VAMPIRE
LE VAMPIRE Les charmes de la nuit sont désormais tombés ; Noirceur profonde et calme, et l'esprit saturnien Tout pareil à l'ivresse après l'astre opalin Égrène les billets d'un malheur griffonné. Toi, pénombre du ciel, Styx d'infinis Charons ! Toi qui...
Journal d'une spasmophile, Sophie Michell
Lorsqu'on est confronté au silence du corps médical s'ajoute à notre maladie un terrible sentiment de n'être rien même dans nos tourments. La souffrance, en plus d'être considérée comme immuable, prend le dessus sur l'espoir et l'envie de guérir. On se...
Tautographes, troisième fournée
Silence : satiété sonore. Surdité sirupeuse, stagnation souple. Nuages : nuées nymphales. Némésis nocturnes. Écriture : exercice entropique échevelant. Expiration enthousiaste, extase égarée entre encre et esprit échafaudé. Tautographe : transcription...